Newsletter Septembre – Sens-toi libre !

Cette année pas de beau discours sur la rentrée. En fait, je serai bien restée en vacances. Pas toi ? Qu’est-ce que je garde de ces quelques semaines de congés ?
Bon ben pas mon bronzage, qui a déjà foutu le camp !
Ni la sérénité des instants de déconnexion totale ! Depuis que je suis rentrée j’ai l’impression que les infos sont encore plus angoissantes qu’avant de partir !

Par contre, je garde une folle envie de repartir et de garder du temps pour moi, pour découvrir de nouveaux endroits, faire des choses amusantes et profiter davantage de cette liberté chérie qui me tient tant à cœur.

C’est vrai que si je garde une chose de ses instants de relâchement c’est que j’aime ma liberté.
Celle d’aller où bon me semble, de choisir ma vie, de chanter dans la rue, de râler, de m’habiller comme il me plaît, d’aimer qui je veux, de dire si je ne suis pas d’accord ou encore d’emmerder les cons.
La liberté d’être celle que je veux, d’être bien dans mes baskets ou dans mes claquettes où que je sois.

Et je remercie la vie de m’avoir permis de naître et de grandir dans un pays où la liberté est un droit pour tous sans distinction.
Même si cette liberté est ancrée dans notre ADN et dans notre constitution, elle est fragile et il faut savoir la préserver face aux injustices, au patriarcat, au racisme ou à l’ignorance.

Je n’oublie pas non plus que face à cette liberté il y a des devoirs et que pour vivre libre il faut aussi accepter les compromis et s’adapter au monde dans lequel on vit.
L’idée c’est de le faire sans renier sa nature profonde et ses principes de vie. C’est d’être cohérent ou en tout cas d’assumer ses choix fièrement.

Rien ni personne n’est parfait. Rien ni personne ne va vivre notre vie à notre place. Alors, vivons-la sans vouloir être parfait ni comme si les autres étaient responsables de nos choix et la liberté de chacun sera préservée.

En attendant tu as toi aussi un choix à faire, c’est de choisir où tu vas travailler. Sens-toi libre et rejoins-nous à Cowork !

Bonne rentrée,
Marine